MON HISTOIRE

Paroisse importante dès la fin du XVII ème siècle, devenue commune en 1837, Le Lamentin avec ses 6232 ha est la plus grande de l’île et grâce à sa pleine fertile fût le grenier de la Martinique. Peu d’attractions touristiques dans cette agglomération. Dans la plaine du Lamentin, sont cultivées la canne à sucre et la banane.

Rapidement prospère par sa grande plaine alluviale unique en Martinique, Le Lamentin a toujours compté fortement dans l’économie locale. Il y a quelques années encore, l’usine du Lareinty, aujourd’hui arrêtée, broyait des dizaines de milliers de tonnes de canne.

Nœuds de communications terrestres essentielles de l’île, les planteurs du Lamentin imprimèrent leur marque dans l’histoire du pays. En 1790, ils stoppèrent à la bataille de l’Acajou, les troupes venues de Saint-Pierre, infligeant à l’armée républicaine de très lourdes pertes.

Sur son territoire, la Rivière Lézarde, qui est le plus long “fleuve” de la Martinique avec ses 35 km devait, sans doute autrefois, accueillir sur ses rives des lamantins, qui ont aujourd’hui totalement disparus.

La commune à donc conservée dans son nom, le souvenir de ces pacifiques animaux, chassés pour leur viande par les premiers habitants amérindiens et européens.

Le Lamentin possède également un arrière pays très diversifié propice à d’agréables randonnées ainsi que de nombreuses installations sportives de qualité (stade, tennis, piscine, hall des sports).

L’aéroport, l’hippodrome, les zones industrielles sont trois pôles d’activités d’intérêt départemental qui se trouvent sur le territoire de cette commune.

A visiter, à dix minutes de l’aéroport, « la Roseraie Burnet » est une vaste propriété de production de fleurs tempérées (80.000 rosiers) et de fleurs tropicales, « la Distillerie La Favorite » datant de 1842.elle fonctionne entièrement à la vapeur ainsi que « la Ferme de Perrine », ou les animaux de la ferme évoluent en toute liberté. .mais aussi des animaux de la faune de la Martinique, de la Caraïbe et du Monde.