MON HISTOIRE

Par arrêté du Gouverneur en date du 15 octobre 1862, la localité de la Rivière Blanche fut érigée en succursale et en section de commune.

En décembre 1863, le Conseil de la Colonie a été saisi d’une proposition tendant à faire du Quartier Rivière Blanche une commune autonome, il faudra attendre une loi du 24 mars 1888 pour que cette création soit officialisée.

L’histoire de Saint-Joseph se fonde autour d’une chapelle de hameau située au Nord de la paroisse du Lamentin entre la Rivière Lézarde et la Rivière Blanche et constituée à partir de terres des communes du Lamentin, du Gros-Morne et de Fort de France.

La paroisse ayant été placée sous la dévotion de Saint Joseph par l’abbé Maillard, la commune adopta tout naturellement le nom de son Saint Patron.

Commune rurale par excellence, cœur vert de la Martinique, Saint-Joseph a vu ses plantations agricoles traditionnelles de canne et d’ananas disparaître.

Seule la banane a pu résister. Mais aujourd’hui l’activité agricole s’est spécialisée dans la culture florale , les cultures maraîchères et l’exploitation de fermes aquacoles.
Ces produits approvisionnent les marchés de Fort de France et du Lamentin, ce qui vaut à Saint-Joseph le surnom de grenier de la Martinique.

La commune possède de nombreux atouts touristiques, bien sur pour la plus part tournés vers le tourisme vert, dont l’un des plus connus est “Cœur Bouliki”, havre de verdure et de paix. Le Jardin du Centenaire avec ses nombreuses espèces botaniques, la Tour du Jubilé composée de roches volcaniques et qui date du début du XX ème siècle ou la Grotte de Lourdes.